EGID
>>> LIEN VERS LE FILM DE PRESENTATION <<<
Nous avons voulu exprimé le désir de faire de l’EGID la vitrine de l’excellence de la recherche sur le diabète. Pour donner son caractère au bâtiment EGID, nous avons travaillé la mise au point d’une trame, dessinée sous forme d’alvéoles rectangulaires. Ces alvéoles profondes d’environ 30 à 40 cm constituent la « peau de l’EGID » et donnent une épaisseur « structurelle » au bâtiment. Dès lors nous pouvons appréhender la volumétrie de l’EGID comme une sculpture urbaine, vivante, à la colorimétrie mouvante, repérable à l’entour par l’uniformité de son traitement.
Sa relation avec l’environnement est « savante ». Constituée du respect de l’alignement dans la continuité urbaine au niveau du piéton, la forme se dégage de cette contrainte dans les étages. Les niveaux se décalent de façon à « développer » sur les façades arrières des surfaces de « micro jardins » suspendus dévolus au bien être des chercheurs.
IMPLANTATION DE L'INSTITUT EGID AU CHR DE LILLE
DATE DU PROJET | 2012 |
LOCALISATION | (59) lille |
ÉLÉMENTS DE PROGRAMME | EUROPEAN GENOMIC INSTITUTE FOR DIABETES CONNEXIONS AVEC L'AILE OUEST DE L'HOPITAL CLAUDE HURIEZ, LES LABORATOIRES J&K ET LE BATIMENT IRCL FONCTIONS FEDERALES + LABORATOIRES + ANIMALERIE - |
ÉTAT DU PROJET | Concours - projet non retenu |
MAÎTRISE D'OUVRAGE | Région Nord-Pas de Calais Direction de la construction des grands équipements - |
ÉQUIPE DE MAÎTRISE D'ŒUVRE | SPIE BATIGNOLLES (nord) INGEROP (conseil & ingénierie) PERAKIS SA (architecte - planification de laboratoires) ATELIER 204 ARCHITECTURES |
SURFACE | 4600 m² (S.U.) |
COÛT | 13 000 000 € HT |
LABÉLISATION | - |
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Nous avons voulu exprimé le désir de faire de l’EGID la vitrine de l’excellence de la recherche sur le diabète. Pour donner son caractère au bâtiment EGID, nous avons travaillé la mise au point d’une trame, dessinée sous forme d’alvéoles rectangulaires. Ces alvéoles profondes d’environ 30 à 40 cm constituent la « peau de l’EGID » et donnent une épaisseur « structurelle » au bâtiment. Dès lors nous pouvons appréhender la volumétrie de l’EGID comme une sculpture urbaine, vivante, à la colorimétrie mouvante, repérable à l’entour par l’uniformité de son traitement.
Sa relation avec l’environnement est « savante ». Constituée du respect de l’alignement dans la continuité urbaine au niveau du piéton, la forme se dégage de cette contrainte dans les étages. Les niveaux se décalent de façon à « développer » sur les façades arrières des surfaces de « micro jardins » suspendus dévolus au bien être des chercheurs.